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Place de la réflexologie dans le traitement du cancer

La place de la réflexologie dans le traitement du cancer

En 2018, c’est près de 382 000 nouveaux cas de cancer en France.

Avec les progrès de la médecine, de nombreux traitements sont possibles au niveau local avec la chirurgie et la radiothérapie et au niveau global avec la chimiothérapie, l’hormonothérapie et l’immunothérapie. La recherche progresse et les nouveaux protocoles peuvent être proposés.

Tous ces traitements ont plusieurs objectifs : aider à guérir, maitriser et/ou prévenir la croissance des cellules cancéreuses et soulager le malade quand la guérison n’est pas possible. Ils peuvent être mis en œuvre de manière successive ou complémentaire.

Ces traitements sont lourds parfois longs, les médicaments administrés, certes efficaces, présentent une toxicité particulière qui peuvent entrainer des effets secondaires importants.

Après l’annonce et l’état de choc d’un diagnostic posé, le malade démarre un parcours de soin long et éprouvant. Toutes ces étapes génèrent des émotions différentes dont l’intensité varie selon son état physique mais aussi psychique.

Les techniques complémentaires comme la réflexologie peuvent être proposées en complément des traitements spécifiques mentionnés ci-dessus.

Pour vous proposer un soin spécifique et adapté, le réflexologue acquiert toute la connaissance liée au cancer (effets secondaires des traitements, aspect psychologique et émotionnel), il étudie des protocoles réflexologiques spécifiques. Il a les connaissances de l’impact psycho émotionnel de la maladie, chaque étape générant des émotions intenses et différentes.

En tenant compte ainsi de l’implication des émotions et en s’appuyant sur les grands principes de l’énergétique chinoise, le réflexologue est ainsi en mesure d’accompagner le malade tout au long de son parcours mais aussi la famille. Les soins proposés permettent d’optimiser la période des traitements de la personne atteinte de cancer en aidant le corps à mieux les tolérer.

Le réflexologue est présent à chaque étape de la maladie, il intervient dans le cadre de soins complémentaires.

Aujourd’hui, de nombreuses mutuelles ont intégrés cette pratique dans leur grille de remboursement.

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